Derrière chaque uniforme, il y a une histoire — et pour de nombreux Canadiens, ces histoires sont marquées d’empathie, de force et des moments d’échange qu’ils n’oublieront jamais.
AVERTISSEMENT : Ce blogue contient de vraies histoires de gens de partout au Canada et du contenu qui peut être bouleversant pour certains lecteurs. Les sujets abordés comprennent les problèmes de santé mentale, l’automutilation, la violence, et la mort. Veuillez en tenir compte tout au long de votre lecture.
Si vous pensez à l’automutilation ou au suicide ou connaissez quelqu’un qui y pense, appelez le 9-8-8 ou envoyez un message texte à ce numéro. Du soutien est offert en tout temps. Consultez le site Web du gouvernement du Canada pour obtenir de plus amples renseignements et des ressources supplémentaires.
Le pouvoir de la compassion
Les membres de la GRC font preuve d’empathie et de compassion; parfois ils posent des gestes de gentillesse, d’autres fois, ils assurent une présence auprès de certaines personnes qui traversent les périodes les plus sombres de leur vie.
« Il y a quelques années, j’ai vécu une période difficile et j’ai pensé au suicide après avoir réussi à mettre fin à la violence que j’avais subie pendant de nombreuses années lorsque j’étais jeune. J’ai grimpé dans un arbre de 50 pieds et je voulais disparaître à jamais. J’avais l’impression que je ne valais rien sur cette terre. J’étais tellement traumatisée, abattue et effrayée. J’avais du mal à gérer mes émotions… mais deux agents très aimables se sont vraiment souciés de moi et m’en ont fait la preuve. L’un d’eux est monté et m’a parlé avec gentillesse et compassion. À ce moment-là, j’ai senti que j’avais de l’importance.
J’étais encore anéantie par la peur liée aux souvenirs et aux nuits blanches, mais nous sommes redescendus de l’arbre ensemble, et l’autre agent m’a aidée au sol. J’étais très touchée de savoir qu’une personne se souciait suffisamment de moi pour grimper dans un arbre de 50 pieds et m’aider. J’éprouve encore beaucoup de difficultés depuis, mais j’aurai 20 ans à la fin du mois de mars — et si je n’avais pas survécu ce jour-là, je n’aurais jamais eu la chance de me rendre à 20 ans! »
— Kaylee (Colombie-Britannique)
« J’ai rencontré un agent de la GRC quand il a été appelé à intervenir à l’école lors d’une situation concernant mon ancien conjoint, qui était violent. Ce membre a écouté à ce que j’ai dit, a lu mes documents concernant la garde des enfants, m’a rassurée, a fait preuve d’une préoccupation réelle et nous a aidés, mes enfants et moi, avec compassion.
C’est un excellent agent de la GRC. Il est digne du respect et de l’honneur que méritent les agents de la GRC. Nous lui souhaitons la meilleure des chances et nous espérons qu’il sera à l’abri du danger. »
— Irene (Alberta)
« Ma motocyclette est tombée en panne à Grand Forks, et un agent de la GRC a attendu avec moi sur l’autoroute pendant plus d’une heure pour assurer ma sécurité pendant que les secours étaient en route. »
— Diane (Colombie-Britannique)
« Mon époux souffrait de problèmes de dépression. Une femme qui était venue à la maison pour une question concernant le travail s’inquiétait de lui et a donc appelé la GRC. Un gendarme a téléphoné à notre maison quelques minutes après le départ de cette dernière pour faire un suivi et s’assurer que mon époux allait bien. La femme ne s’était pas rendu compte que j’étais à la maison et que je prenais soin de mon époux. J’étais tellement reconnaissante de la préoccupation de la femme, mais aussi de celle de l’agent. Je suis rassurée de savoir que, si je n’avais pas été à la maison, il y a des agents de la GRC au sein de la collectivité qui se soucient de nous. »
— Deanna (Colombie-Britannique)

Les membres se surpassent pour répondre à nos appels à l’aide
« Voici une lettre que j’ai écrite au caporal Jason Raaflaub du détachement de Mission, en Colombie-Britannique, au sujet des agents qui ont pris part aux recherches pour retrouver mon époux disparu. Mon époux avait subi une blessure à la tête et avait quitté l’hôpital à pied durant la nuit. Malheureusement, l’hôpital n’a communiqué ni avec moi ni avec la GRC pour signaler sa disparition, et il s’est noyé dans un étang de 12 pieds de profond.
Même si ce fût une journée bouleversante et horrible, j’ai été très impressionnée par mes agents (comme je les appelle) en raison de leur dévouement professionnel à la tâche et de leur gentillesse à mon égard ce jour-là. Je sais que c’était du quotidien pour eux, mais pour moi, c’était la plus grande tragédie de ma vie, et la seule chose à laquelle je pouvais me raccrocher ce jour-là était leur gentillesse. C’est pour cette raison que je les garderai toujours dans mon cœur. Voici la lettre que j’ai écrite à leur caporal pour souligner le travail de mes agents :
À tous les membres de la GRC en service qui prenaient part aux recherches pour retrouver [mon époux]. Je vous suis profondément reconnaissante de votre travail acharné et de votre dévouement pour retrouver mon époux… je sais d’expérience que, bien souvent, vous faites des tâches ingrates et rencontrez des gens irrespectueux. Vous ne vous rendez peut-être pas compte qu’il y a bien d’autres amis et partisans qui saluent votre travail, mais nous sommes là.
Vous êtes les héros, les braves et les courageux. C’est vous qui gérez les choses de la vie dont personne d’entre nous ne veut s’occuper… comme sortir un corps d’un étang ou annoncer à quelqu’un que le corps retrouvé dans cet étang est celui de l’être cher. Personne ne veut faire ces choses, mais vous les avez faites et vous les avez faites pour moi.
Le gendarme Rob Scott, avec son soutien bienveillant et compatissant, ainsi que le gendarme Shawn Crampton, m’ont réconfortée tout au long de cette longue journée sombre. Ils ont fait preuve d’un savoir-faire exceptionnel dans leur façon de m’amener à comprendre que nous connaissions tous l’issue inévitable, et ce, une étape à la fois. Chaque étape a été suivie avec classe et dignité. Pour toutes ces choses, je vous remercie.
J’espère sincèrement que vous resterez toujours en sécurité et que vous réalisez à quel point vous êtes appréciés. »
— Joanie (Colombie-Britannique)
« Il y a de nombreuses années, [ma famille a été] transférée de Portage la Prairie à Ottawa. Mon époux est parti en premier. Je suis restée pour vendre la maison, superviser l’emballage, nettoyer la maison vide et trouver un trajet jusqu’à Winnipeg pour prendre l’avion — avec un enfant de deux ans et un nouveau-né!
Dans l’avion, il y avait un monsieur du côté de la fenêtre. Mon fils était assis entre nous, et je tenais ma fille dans mes bras. Cet homme était incroyable : il a diverti mon fils, il l’a laissé regarder par le hublot, il s’est occupé du sac à vomi (!) et il a tenu mon bébé pendant que je nourrissais mon fils.
Il s’est avéré qu’il était un membre de la GRC et qu’il connaissait mes frères (ils sont tous deux des membres retraités de la GRC). Je ne suis pas certaine que j’aurais pu supporter ce vol sans l’aide de ce membre en service. C’était une personne extraordinaire. Je me souviendrai toujours de sa gentillesse. »
— Patricia (en vol entre le Manitoba et l’Ontario)
Inspirer la prochaine génération
De nombreux Canadiens sont imprégnés des souvenirs d’expériences vécues avec la GRC qui ont façonné leur vie et, dans certains cas, inspiré une carrière dans le domaine de l’application de la loi.
« Je m’appelle Micky Langleben et je viens de Moncton, au Nouveau-Brunswick.
Au cours de ma candidature à la GRC en 2023, j’ai eu la chance de faire des patrouilles avec un agent de la GRC communautaire, le gendarme Nick Angeli-Grou, à Moncton, au Nouveau-Brunswick. Il a complètement changé ma vision du travail policier, et par extension, ma propre vie. J’étais enthousiaste à l’idée de rejoindre la GRC, mais après avoir été ajourné dans le processus, je me suis senti découragé et incertain quant à la suite.
C’est à ce moment-là que ce gendarme est intervenu, non seulement comme mentor, mais aussi comme source constante de soutien et de motivation. Il m’a rappelé que les obstacles font partie du chemin et m’a encouragé à ne pas abandonner. Ses conseils et la confiance qu’il avait en moi ont joué un rôle énorme dans ma décision d’aller au collège et de poursuivre ma route vers mon objectif de devenir policier.
Pendant ces patrouilles, j’ai pu voir de mes propres yeux ce qu’est réellement la police communautaire. Nous avons visité des écoles intermédiaires locales et donné des présentations aux élèves. Le voir interagir avec les jeunes, répondre à leurs questions et tisser des liens positifs avec la communauté m’a profondément marqué. Il faisait preuve de patience, de respect et de sincérité, et il se soucie encore aujourd’hui des gens qu’il sert.

Michal (à droite) et Cst. Nick (à gauche) devant un panneau de la police communautaire de Codiac
Tout au long de mes études, il a continué à être là pour moi, toujours disponible pour répondre à mes questions, m’offrir des conseils et m’encourager. Ce n’est pas seulement un excellent policier, c’est aussi un formidable enseignant et mentor. Grâce à son influence, je suis resté concentré, j’ai surmonté les moments difficiles et je n’ai jamais perdu de vue mon rêve.
Il a été la plus grande source d’inspiration de mon parcours, et nous avons besoin de plus d’agents comme lui, des agents qui montrent l’exemple, qui ont à cœur leur communauté et qui prennent le temps d’appuyer la prochaine génération. »
– Michal (Nouveau-Brunswick)
« Quand j’étais à l’école secondaire, je flânais avec des amis qui causaient toujours des problèmes et qui se disputaient avec de jeunes inconnus de notre âge. Et bien sûr, lorsqu’on traîne avec ces personnes, on finit par être impliqué aussi, et on peut subir des blessures.
Un jour, j’étais avec eux à l’heure du dîner, puis nous avons été attaqués par un garçon que nous ne connaissions pas et aspergés de poivre au visage. C’est à ce moment-là que des agents de la GRC sont intervenus et nous ont aidés. Par la suite, un des agents a assuré mon retour à la maison et, en route, il m’a raconté des histoires et m’a appris ce qui est bien et ce qui ne l’est pas.
Cet agent a eu une influence sur moi, et j’ai eu envie de me joindre à la GRC grâce à ses encouragements. Il m’a donné la motivation de faire carrière dans le domaine de l’application de la loi. J’attends actuellement que ma demande soit traitée et je me prépare pour la division Dépôt.
J’aurai toujours de la reconnaissance envers cet agent et tous les autres agents de la GRC qui m’ont apporté de l’aide dans le passé. Je les remercie également de nous protéger, et j’ai hâte de faire partie de cette famille — l’un des plus grands organismes d’application de la loi qui assurent la sécurité de tous les Canadiens. »
— Soumis de façon anonyme (Colombie-Britannique)
Un membre de la GRC inspirant un jeune (GRC Manitoba, 2019)

« Lors d’une rencontre communautaire, j’ai eu l’occasion de discuter avec un gendarme qui m’a expliqué en détail son métier et les défis qu’il rencontre au quotidien. Cet échange m’a permis de mieux comprendre le rôle des gendarmes et les différentes tâches qu’ils accomplissent. Cela m’a tellement inspiré que j’ai maintenant le goût de faire ce métier. »
— Soumis de façon anonyme (Québec)
« J’étais à une activité de recrutement lorsque j’ai eu l’occasion de parler avec un membre de l’équipe de recrutement de la Division O. Cet agent était plus que gentil et professionnel et, même si j’ai manifesté de l’intérêt pour un service de police différent, il ne m’a pas tourné le dos et m’a donné des conseils incroyables sur la façon de me préparer à une carrière dans les services policiers et les meilleurs conseils pour présenter une demande. Cet agent a fait preuve d’un service exemplaire envers sa collectivité, et je suis heureux de savoir que quelqu’un comme lui assure la sécurité du Canada. »
— Evan (Ontario)
« J’ai adoré la formation par les membres de la GRC au [programme d’expérience précadet diversifié et inclusif] à Regina. La personne qui m’a le plus inspirée est définitivement le Superintendent Darryl Dawkins. Les interactions que j’ai eues avec lui m’ont inspiré confiance, respect et altruisme. Je vais toujours me souvenir de son énergie chaleureuse et rassembleuse. »
— Anonyme (Saskatchewan)
Moments de fierté et souvenirs impérissables
Que ce soit en participant à un événement public, en travaillant aux côtés d’équipes de recherche ou simplement en étant présents dans la collectivité, les membres de la GRC continuent de laisser une impression positive sur les gens partout au pays.
« Ayant assisté à diverses activités protocolaires, je rencontre toujours les membres de la GRC en tunique rouge. Leur présence à ces activités m’a toujours rendu fier d’être Canadien, de voir la force policière nationale. En plus d’assister au Carrousel à l’Exposition nationale canadienne. Merci d’appuyer nos collectivités! »
— Gerald (Ontario)

Peu de choses sont aussi emblématiques qu’un membre en tunique rouge
« J’étais membre de l’Équipe de recherche et de sauvetage de Bay of Islands, ici à [Terre-Neuve]. J’ai rencontré de nombreux membres de la GRC et de la Force constabulaire royale de Terre-Neuve et j’ai travaillé à leurs côtés, les aidant à chercher des personnes perdues. Ce fut une expérience merveilleuse que de ramener les personnes perdues auprès de leur famille. Les policiers étaient très reconnaissants du soutien des bénévoles qui ont contribué à leurs efforts acharnés en ces moments difficiles. Merci de votre service et de votre loyauté envers l’humanité. »
— Edward (Terre-Neuve)
« Quand j’étais jeune et que je fréquentais encore l’école secondaire, il y avait un jeune agent de la GRC qui était affecté à notre petite ville. Il est devenu un bon ami de la famille et s’arrêtait souvent à notre ferme, parfois même lorsqu’il était en service. Il m’emmenait souvent faire des randonnées et pêcher. Et il m’a même appris la bonne façon d’utiliser une arme de poing. J’avais l’impression d’être au sommet du monde chaque fois qu’il venait. J’ai appris, sans qu’on en parle vraiment, à avoir un grand respect pour le service de police.
Malheureusement, il est décédé quelques années plus tard pendant qu’il était en service. Il a été tué dans un écrasement d’hélicoptère. Je pense souvent à lui et j’attache beaucoup d’importance au fait qu’il m’a appris à respecter ceux qui servent le public comme le font les policiers. »
Le caporal Francis Eugene Jones, dont on se souvient affectueusement sous le nom de « Frank »

— Don (nord de la Colombie-Britannique)
« De nos jours, les besoins liés aux services de police et à la sécurité publique semblent augmenter de façon exponentielle. Même si je fais partie de la majorité chanceuse qui n’a jamais vraiment eu à faire appel aux services des membres de la GRC, je suis très reconnaissant du travail qu’ils accomplissent. J’ai été témoin et j’ai entendu parler de tant d’actes d’altruisme, et je remercie sincèrement les hommes et les femmes qui font preuve de courage en choisissant d’entreprendre cette carrière extrêmement difficile. Il faut une personne très spéciale pour endurer les critiques et le stress constants qui pèsent sur sa propre vie afin d’améliorer les collectivités dans lesquelles nous vivons. Merci pour tout ce que vous faites! »
— Mike (Colombie-Britannique)
« J’ai beaucoup de chance d’avoir plusieurs amis proches retraités de la GRC. Malheureusement, le grand public oublie que ces gens ont des familles, des passe-temps et des amis en dehors du travail, comme nous tous. Ces excellents agents sont également des ambassadeurs communautaires fantastiques qui collaborent avec des organismes de bienfaisance locaux, comme je l’ai fait au fil des ans, et c’est pourquoi j’ai un si grand respect pour les agents actuels et retraités de la GRC. »
— Brian (Colombie-Britannique)
« Le jeudi 22 mai 2014… quelle soirée passionnante ce fut! Je me suis sentie comme une enfant qui attendait impatiemment ses cadeaux la veille de Noël. Mes parents ont fait la rencontre du gendarme Steve Côté pendant leur promenade du soir alors que celui-ci travaillait à Berwick, en Nouvelle-Écosse, et je l’ai rencontré par leur entremise.
À un moment donné, je lui ai montré mon modèle réduit de voiture de la GRC et il m’a dit qu’il lui plaisait vraiment. Je lui ai dit qu’il pourrait l’avoir s’il amenait sa voiture de patrouille pour que je puisse voir à l’intérieur. Il m’a dit qu’il pouvait faire mieux que cela – il me ferait faire le tour complet de la voiture et me montrerait comment utiliser l’équipement d’urgence.
Quelle surprise! J’ai toujours pensé que ce serait amusant, mais je n’ai jamais cru que l’occasion se présenterait.
Après avoir pris des photos de la voiture de patrouille avec ma famille pendant une dizaine de minutes, je me suis assise du côté passager, j’ai allumé les lumières sur le toit et j’ai fait hurler les sirènes! Il m’a fait voir la carte GPS sur l’ordinateur, avec la petite voiture qui montre son emplacement et l’endroit où on a besoin de lui.
Il m’a montré le pistolet radar et son fonctionnement, l’imprimante pour les contraventions et le haut-parleur. J’ai pu voir son herse et d’autres équipements d’urgence, et il m’a expliqué leur fonctionnement.
Puis il m’a montré les lumières et les boutons de sirène et m’a expliqué les différents motifs de lumière. J’ai été surprise par le nombre de motifs de lumière et de sons de sirène. C’était aussi très intéressant d’écouter les répartiteurs à la radio.
Depuis, Steve a déménagé et a gravi les échelons jusqu’au grade de sergent à Ottawa. Il vient encore prendre un thé avec mes parents et moi de temps à autre lorsqu’il est de passage en Nouvelle-Écosse pour rendre visite à ses amis policiers.
Merci, Steve. C’était une soirée inoubliable! »
— Cyndi (Nouvelle-Écosse)

Cyndi et Cst. Steve dans sa voiture de police le 22 mai 2014
Des héros de tous les jours, une incidence durable
Ce ne sont là que quelques-unes des histoires que les Canadiens nous ont racontées, chacune témoignant du courage, de la gentillesse et de l’engagement des membres de la GRC qui servent nos collectivités partout au pays.
La Semaine nationale de la police est plus qu’une période de reconnaissance — c’est le moment de réfléchir aux contributions invisibles, aux vies changées et aux gens qui se cachent derrière l’insigne. À tous les membres de la GRC : merci pour votre service, votre dévouement et votre humanité.
Ce blogue a été créé pour célébrer la Semaine nationale de la police 2025
La Semaine nationale de la police a lieu en mai de chaque année et donne l’occasion aux Canadiens de se réunir pour souligner le dévouement des personnes qui travaillent sans relâche pour assurer la sécurité de nos collectivités. C’est l’occasion de mettre en valeur les gens qui se cachent derrière l’insigne — leur compassion, leur résilience et leur service — et de les remercier du fond du cœur.
Cette année, nous sommes fiers de vous présenter des témoignages véridiques de Canadiens d’un bout à l’autre du pays qui ont été personnellement touchés par les actions des membres de la GRC.
Avez-vous une histoire à raconter au sujet d’un membre de la GRC qui a changé le cours des choses dans votre vie? Envoyez-nous un courriel à l’adresse [email protected]. Nous serions ravis de connaître votre histoire!